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Je suis un assassin

C'est honnêtement écrit au générique: librement adapté du roman de Donald Westlake. Comprendre que Thomas Vincent, réalisateur du formidable Karnaval, en 1999, a tenu à prendre ses distances avec une intrigue alléchante: un échange de meurtre entre deux romanciers. Quand Westlake en profite pour creuser les jeux de miroirs entre la création et la réalité, Vincent, lui, se trouve inspiré à tirer son récit vers une symbolique fantastique (l'écrivain vampire) pas du tout convaincante.